Étude de cas de notre projet CRÉAPP :
Éphémère, culturel, résidence et gaufre.
Tels étaient les quatre mots qui allaient définir le sujet de notre projet de groupe pour le bimestre à suivre. Mais comment ce projet a-t-il commencé? Que s’est-il réellement passé pendant ces deux courts mois, et comment nous sommes passés de la confusion totale à un résultat final qualitatif?
Recommençons depuis le début.
“Partons nous sur les gaufres, ou sur les gauphres ?”
À partir du moment où nous fûmes désignés nos 4 mots représentatifs des thèmes à aborder, nous entreprîmes des recherches concernant chaque mot individuellement afin de vraiment comprendre leur sens et découvrir de nouvelles opportunités pour utiliser ces mots de façon originale.
C’est exactement ce qu’il va se produire avec le mot gaufre, qui, étonnamment, possède un homonyme ( ou plutôt homophone, puisque le mot peut s’écrire de deux façons différentes) :
il s’agit du mot gaufre/gauphre, qui désigne un rongeur habitant en Amérique du Nord et en Amérique Centrale. cet animal ressemble très fort à une marmotte, mais se comporte d’une façon semblable à une taupe : il creuse des trous et maçonne des tunnels des kilomètres de tunnels en dessous des jardins et des plantations (il semblerait d’ailleurs agacer les personnes concernées, mais les gaufres auraient une influence vertueuse sur la richesse des sols dans lesquels ils creusent).
C’est, après discussion, la direction dans laquelle nous déciderons de partir, afin de produire un résultat original qui se démarque du “piège” que pouvait être celui de la gaufre comestible (Il est intéressant de noter que nous avions toutefois conservé un “plan de secours” avec une gaufre traditionnel, au cas où l’utilisation originale du mot ne convenait pas aux critères demandés par le briefing).
La chasse à la gaufre
C’est ensuite que débutèrent nos recherches : qu’est-ce qu’un gaufre, d’où vient-il, que mange-t-il, comment vit-il, quel est son cycle de vie — bref, nous étions à la recherche aux informations sur les gaufres, mais nous cherchions aussi à pouvoir facilement inscrire cet animal en accord avec les autres mots qui, rappelons-le, sont “éphémère”, “culturel”, et “résidence”.
Nous plongerons directement sur l’idée d’un musée, enfin, du moins, d’une exposition éphémère au sein d’un musée (qui représente la résidence culturelle) et nous pensions alors que l’endroit idéal pour nous établir serait un musée situé en Amérique, ce qui apportera ses contraintes mais aussi quelques avantages.
Ce musée serait plus précisément le Musée Pérot des Sciences Naturelles, que nous avions choisi car il se trouve à Dallas, au Texas, qui est un lieu où l’on retrouve un nombre conséquent de gaufres, mais aussi car cela nous permettait de jouer sur le côté “Cotton Eye Joe”/Hillbilly/Cowboy de la situation, que nous retrouverons non seulement dans notre contenu mais aussi dans nos expériences (comme notamment le stand de tir, mais nous y reviendrons plus tard).
Une gaufre accessible et haute en couleurs
Pour l’instant, il s’agissait principalement de se trouver une charte graphique, une approche visuelle, ainsi que les couleurs et les typos à utiliser. La première chose que nous fîmes fut de préparer un moodboard. Même si celui-ci est, un peu ancien en matière de réflexion, il représente néanmoins une mise en abyme de notre projet, un peu comme son point de départ : on y retrouve les couleurs chaudes et vives, la présence des gaufres, la présence du Texas, parmi d’autre choses.
Une autre approche pour laquelle nous voulions opter au départ était de s’inspirer drastiquement des affiches de parcs naturels américains de la première moitié du XXème siècle, car leurs couleurs, l’ambiance qu’elles proposent et toute l’iconographie qui leur était relative s’inscrivait bien, selon nous, dans notre projet (c’est justement les affiches que l’on peut observer dans le moodboard).
La charte graphique, et, plus précisément le choix des typographies, était la première chose que nous avions décidé de mettre en place et sur laquelle nous nous sommes tous mis d’accord afin de tous avancer de façon homogène.
Nous avions choisi, pour nos typographies, un mélange de Work Sans, choisie pour sa polyvalence et sa grande variété de graisse qui permet de l’intégrer facilement, accompagnée de Zilla Slab, une fonte lisible, stylisée mais toujours accessible, qui rappelle légèrement le monde de la machine à écrire (plus personnellement, elle m’évoque le monde de la cartographie post-imprimerie où les annotations étaient inscrites avec des fontes de type slab, souvent associées à du serif par ailleurs).
Une fois toute la charte graphique déterminée, il était temps de nous donner un nom, et surtout, un but : nous allons alors devenir les Rodent Hunters, exposants sur les différents types de rongeurs à travers les États-Unis et débutant leur tournée avec l’exposition sur les gauf(ph)res.
Le logo fut également une part importante de notre projet : il fallait qu’il soit contextuel à notre équipe, sans pour autant trop être précis que pour ne rappeler qu’un seul de nos supposés projets. Nous allons alors, grâce aux illustrations fournies par Sylvian, préparer un logo très sobre, facilement discernable sans pour trop être rattaché aux gaufres (l’animal du pictogramme pouvant simplement être interprété comme un petit être aux oreilles en pointes levées vers le haut).
La divergence des terriers
Ensuite vint le temps de préparer le contenu et de se faire, justement, un inventaire de contenu. Nous savions d’entrée que, dans le cadre d’une exposition temporaire, nous aurions besoin d’affiches, de bannières, d’une présence en ligne et d’une expérience tactile, si pas ludique.
Dès lors, nous nous donnèrent tout.e.s différents objectifs selon nos domaines de prédilection : par exemple, Sylvian et Camille travaillaient sur la mise en couleur et l’illustration des affiches, Marie s’occupait de la mise en page des affiches et sur les incrustations sur Photoshop, Guillaume de l’animation et la mise en place de l’expérience, et Tom, sur la typographie et l’intégration sur le Web de notre exposition. Cela permettait à chacun de travailler à son rythme et d’être le plus productif possible.
Une gaufre sur la toile
Le premier aspect que nous avons abordé était celui du site de présentation : nous étions passés par moult idées, notamment celle d’un mini-jeu où un gaufre traverserait son terrier au fur et à mesure que les informations apparaissaient sur l’écran, mais c’est seulement par la suite que nous allons nous recentrer et mettre en place un inventaire de contenu, qui va nous faciliter la tâche et nous faire découvrir les informations à placer sur notre site ainsi que l’ordre selon lequel nous voulions les présenter.
Cette hiérarchisation de l’information va également nous permettre, par la suite, de préparer plusieurs prototypes et de laisser l’ensemble du groupe choisir dans quelle direction partir : d’un côté, nous avions un prototype haut en couleur, vif et stylisé tout en reprenant les espaces verticaux imposés par les rapports hiérarchiques cités précédemment; de l’autre côté, nous avions un site drastiquement plus minimaliste, où l’information est apportée au lecteur le plus rapidement et de la façon la plus accessible possible.
C’est après consultation avec le professeur que nous partirons sur le premier prototype, jugé plus fidèle à l’original et plus authentique par l’ensemble du groupe.
Une fois décidé, le prototype pouvait passer à l’étape de l’intégration, et c’est sans plus attendre que nous nous y sommes mis. C’est en un temps-record que le site sera finalisé et prêt à recevoir les images et affiches des autres membres : près de 16 heures quasiment consécutives de développement, qui ont permis de créer un site accessible, dynamique, propre à notre style visuel et qui offre l’information nécessaire pour découvrir qui nous sommes et de quoi parle l’exposition.
Cette intégration, c’était également l’occasion de tester de nouvelles pratiques, d’oser prendre des risques, et de découvrir de nouvelles fonctionnalités très utiles pour réduire la longueur des fichiers de programmation, mais ces nouvelles techniques ne venaient pas sans leur lot d’embûches et de difficultés : problèmes de “spécificités”, de responsiveness, de performance locale, que nous parvînmes à toutes surpasser et corriger pour offrir un site ressemblant à ce que nous voulions présenter. De cette intégration, nous en ressortirons plus expérimenté et davantage paré à prendre des initiatives en matière de programmation et de réflexion (littéralement, “To Think Outside The Box”).
Complémentairement à la page de présentation, nous devions avoir notre présence virtuelle sur le site officiel du Musée Perot, pour compléter l’expérience et affirmer notre existence en tant qu’exposants. C’est la raison pour laquelle nous allons récupérer le site du musée sur une page d’exposition, et en remplacer le contenu ainsi que les images avec les nôtres. À noter qu’à la base nous pensions faire notre exposition en français et que, par conséquent, le site du musée Perot devait également être traduit (nous estimions que le public cible était alors la classe, voir le professeur). C’est seulement après avoir tout traduit et corrigé partout, qu’il fallut, bien évidemment, refaire le chemin inverse et récupérer le site original, anglophone.
Toutefois, récupérer le site original et repartir de zéro s’est avéré productif et immersif : voir notre contenu apparaître sur un site différent du nôtre vendait vraiment cette vraisemblance d’existence réelle, et pas seulement virtuelle. C’était, en outre, un excellent exercice de maintenance d’un site Web construit sur des principes différents des nôtres.
Les gaufres sous toutes leurs coutures
Afin d’en apprendre toujours plus sur les gaufres, il nous fallait des affiches explicatives. Pour cela, nous avons créé des layouts papiers avant de réaliser numériquement les affiches.
Pour la bannière de “bienvenue”, nous sommes restés simples et clairs. Devaient y figurer le nom de l’exposition, ainsi que les gaufres en illustration. Donc, nous avons positionné deux gaufres montrant fièrement le nom “Small rodent, big Consequences” avec des trous de terriers bien visibles, ce qui donne la puce à l’oreille de ce que nos petits rongeurs peuvent créer comme désagréments.
Le cycle de la vie des gaufres a été imaginé sous forme d’un chemin menant du lieu de sa naissance, le nid, jusqu’à l’endroit de sa mort, à l’extérieur du terrier familial où il mène sa vie de gaufre adulte. Nous y trouvons donc 4 gaufres représentant les 4 grandes étapes de la vie d’une gaufre, chacune d’entre elles à des âges différents et remontant peu à peu son terrier avec les différentes informations à connaître.
Pour savoir où vivent les gaufres, il nous fallait une carte lisible et facilement compréhensible pour tout.e.s. L’affiche comporte donc cette carte et est accompagnée d’une légende afin de pouvoir la comprendre. Pour étoffer cette affiche et rendre les informations sur le lieu de vie des gaufres plus complètes, nous avons décidé de montrer le terrier des gaufres et le terrier des taupes côte à côte afin de montrer les différences entre ceux-ci et expliquer clairement comment les reconnaître.
Pour terminer, il nous fallait une affiche représentant les prédateurs naturels des gaufres et les façons naturelles de s’en débarrasser. Néanmoins, cela faisait trop d’informations pour une seule affiche et nous avons décidé de séparer les prédateurs et les manières naturelles de se débarrasser des gaufres. Vu qu’il s’agit de deux affiches traitant de choses similaires, à voir la gestion de la population des gaufres, soit par nous, soit par leurs prédateurs naturels, nous avons opté pour la même mise en page des affiches.
L’affiche reprenant les prédateurs représenterait le serpent à gaufre et la chouette effraie, placé de haut en bas et alterné de gauche à droite afin d’ajouter des informations écrites juste en face de l’animal concerné. Sur le même principe, 3 méthodes naturelles pour se débarrasser des gaufres allaient être illustrées et expliquées.
Une gaufre en dessin
Avant de se mettre à travailler sur les affiches, il fallait se pencher sur la création de notre gaufre, la mascotte de notre groupe et ses déclinaisons.
Malheureusement il est difficile de trouver une quantité suffisante de gaufres illustrées sur internet. Ce n’est pas un animal aussi connu que ses autres voisins rongeurs. S’appuyer sur des illustrations d’autres spermophiles nous à donc bien aidé dans nos recherches.
Après avoir une base suffisante d’illustration et de photo de gaufre, Il nous fallait désigner des caractéristiques propres à la gaufre qui se retrouveraient dans nos illustrations. C’est un rongeur et comme la plupart des rongeurs, on peut leur attribuer 4 grandes caractéristiques:
- Des grandes poches sous les joues, qu’ils utilisent pour stocker la nourriture et les produits de première nécessité, d’où leur appellation en anglais “Pocket Gopher”;
- Des dents prédominantes et tranchantes, qui leur permettent de creuser sans que la terre ne pénètre dans leur bouche;
- Des griffes aux pattes qui les aident à percer le sol des jardins et terres agricoles;
- Une fourrure épaisse de couleur marron à grisâtre pour correspondre à la couleur du sol dans lequel ils vivent.
C’est avec toute cette base de données que notre premier gaufre vit le jour. Il était destiné à être utilisé pour l’affiche et le logo de l’exposition. De face, dodu, et un air enjoué, pour qu’il soit le plus adorable possible.
Concernant l’affiche “The 4 Main Stages”, il fallait créer la gaufre sous chaque étape de sa vie. Premièrement, celui de la naissance qui expliquait que le bébé était aveugle les premiers mois et restait près de sa mère dans son terrier. Donc simplement illustrer la maman coucher et le bébé à ses côtés.
Deuxièmement, le gaufre sevré quittant le terrier maternel pour le sien, il est donc dessiné grand, debout et prêt à avancer dans son histoire.
Ensuite, arrive la maturité sexuelle, le gaufre rencontre sa femelle et décide de se reproduire et de faire prospérer son terrier. C’est donc tout naturellement que le gaufre est dessiné avec sa femelle et les signes d’un amour fou.
Et enfin le dernier, le papy gaufre pour parler de la mort. Il devait à la base y avoir une pierre tombale pour signifier la mort mais dessiner un gaufre vieux semblait plus approprié et peut-être moins lugubre. Le gaufre est donc dessiné avec des cernes et une canne, des signes qui permettent d’un coup d’œil de savoir que l’animal n’est plus tout jeune.
C’est avec ce lot de 4 gaufres que la création de l’affiche a pu commencer. Dès le début nous étions partis sur un terrier où le fond était le lieu de naissance pour finir par la mort lors de la sortie du tunnel. Une fois le terrier fait et les gaufres installés aux bon endroits, il n’y avait plus qu’à se pencher sur le décor de la terre et de la surface. C’est en faisant quelques recherches sur le style cartoon de paysages que les idées émergèrent. La réalisation fut simple, des couches de terre de couleurs différentes, des cailloux de toutes les tailles, de l’herbe sur la couche de la surface et un arbre avec ses racines. Pour rajouter une petite touche humoristique, et surtout pour combler un vide, il ne manquait plus qu’un petit squelette de gaufre sous la surface.
Une autre des affiches créée et tout aussi plaisante à faire que l’autre, était “Where do they live?”. Nous avions trouvé une carte des USA montrant où vivent les taupes, campagnols et gaufres. Cette carte a été reproduite pour l’affiche par nos soins.
Elle ne fut pas compliquée à reproduire. Une reproduction de la carte des USA, prendre le logo de notre gaufre adorée, lui mettre trois coloris et replacer tous ces pions sur la carte là où elles doivent se trouver. Il ne restait ensuite que de dessiner les deux types de terriers, les incruster dans l’affiche et placer en fond notre texture de vieux papier faisant partie de la charte graphique.
Pour terminer le tour des principales affiches, nous allons parler de la bannière :
Premièrement, il fallait un slogan, “Small Rodent, Great Consequences” est sorti de la bouche d’un de nous cinq et à été immédiatement accepté tant cette phrase représentait tout ce que nous voulions montrer dans cette exposition.
Pour créer la bannière, nous avons donc placé en évidence le slogan et l’entourer de deux gaufres le pointant du doigt pour guider les yeux du spectateur. En dessous du titre, trois petits terriers ont été disposés dans le but de rappeler que nous sommes face à une exposition de rongeurs et que ce sont des animaux creusant énormément et vivant dans le sol. La texture de vieux papier a été de nouveau placée pour donner un petit plus à l’illustration. Et pour le background du fond, la couleur de l’affiche de l’exposition a été utilisée pour coller avec la charte graphique.
Une gaufre en mouvement
Vint ensuite le temps de préparer la vidéo de présentation de notre vidéo. Nous voulions qu’elle reflète tout aussi bien l’ambiance proposée par le musée Perot à Dallas (lieu dans lequel notre exposition se présente), tout en proposant nos idées également. C’est la raison pour laquelle nous avons commencé à mettre en place un storyboard qui nous permis à nous organiser aisément et à avoir déjà une direction globale dans laquelle se diriger.
Pour la bannière de “bienvenue”, nous sommes restés simples et clairs. Devaient y figurer le nom de l’exposition, ainsi que les gaufres en illustration. Donc, nous avons positionné deux gaufres montrant fièrement le nom “Small Rodent, Big Consequences” avec des trous de terriers bien visibles, ce qui donne la puce à l’oreille de ce que nos petits rongeurs peuvent créer comme désagréments.
Ensuite, la production fut scindée en deux : d’un côté, nous avions Guillaume, qui s’occuperait du dérushage, et, de l’autre côté, Tom, qui s’occuperait de l’introduction en animation ainsi que de certains plans de caméra (ceux, notamment, où est présenté le revolver).
Étant donné que certains plans viennent à la suite l’un de l’autre sans pour autant être dans le même endroit (notamment le plan où l’on voit Tom braquer le revolver suivi du plan sur le bocalqui explose), il fallait s’organiser et synchroniser nos idées afin d’éviter le maximum de faux raccords, et d’assurer une homogénéité entre les différents plans consécutifs. Guillaume & Tom vont alors convenir d’une pièce similaire dans leur propre maison afin de correspondre aux couleurs et à l’éclairage ambiant de la pièce dans laquelle les plans seront tournés.
Une fois tous les rushs récoltés et l’animation terminée, il ne restait plus qu’à assembler le tout en un ensemble dynamique.
Du tir à la gaufre
Nous pensions rajouter, in fine, une expérience unique en son genre afin de vraiment rendre cette exposition mémorable, qui nous permettrait allégrement d’être un peu moins traditionnel et d’offrir quelque chose d’original et ludique, relatif au lieu dans lequel se déroule l’exposition : il s’agit du tir au revolver — simple action, pour les connaisseurs — sur gaufre, bien sûr, mis en oeuvre en considération des règles sécurités relative à l’utilisation de répliques d’armes à feu.
Mise principalement en valeur dans la vidéo, cet “atelier” on-ne-peut-plus original permettrait aux visiteurs d’activement participer à l’éradiquation des gaufres “à l’Américaine”.
C’était, bien évidemment, un moyen pour nous de nous connecter aux racines texannes auxquelles se raccroche notre projet, le Texas était le berceau de l’esprit “Far West” occidental.
“Du Tir sur gaufre! Retrouvez toutes les sensations d’un cowboy et montrez-nous votre précision hors paire.”
Un gaufre pour les gouverner tout.es
C’est ainsi alors, dans la joie et la bonne humeur que se termine cet atelier sur les gaufres et leurs péripéties à travers l’Amérique.
Ce fut un plaisir pour l’ensemble de l’équipe de travailler ensemble à nouveau, sur un projet passionnant qui nous fit découvrir pleins de nouveautés, hormis le fait qu’une gaufre ne soit pas uniquement une patisserie liégoise ou bruxelloise.
Merci à tout.es celleux qui ont participé de loin ou de près à l’élaboration de ce projet, et à la prochaine chez les Rodent Hunters™!